AL SADE VAYA'AR |
Par le champ et la forêt Au-dessus du champ et de la forêt, un chant erre lentement, Une jeune fille pleure là-bas comme une corde brisée. Au-dessus du champ, le chant vient et s’unit à la toison, Avec une étoile au firmament et une larme honteuse. Des oiseaux de mille ans s’envolent Entre-temps, la vie aussi fleurit. « Peut-être qu’il se montrera de nouveau ? » demande la fillette, Avec les fleurs de l’été, silencieusement, elle se fane. Au-dessus du champ et de la forêt, un chant erre lentement, Une jeune fille pleure là-bas comme une corde brisée. Au-dessus du champ, le chant vient et s’unit à la toison, Avec une étoile au firmament et une larme honteuse. « Peut-être qu’il se montrera de nouveau ? » demande la fillette, Avec les fleurs de l’été, silencieusement, elle se fane. Au-dessus du champ et de la forêt, un chant erre lentement, Une jeune fille pleure là-bas comme une corde brisée. |
Basade vaya’ar Alsade vaya’ar zemer at yanua, Na’ara bocha sham kemetar karua. Alsade va zemer mitlaked letzemer Im kochav rakia vedima nichlemet. Tziporim shnot elef afu machanayim, Hachayim gam hema mistalkim bentayim. “Shema od yofia ?”, hayalda shoelet, Im pichrei hakayitz cheresh hi novelet. Alsade vaya’ar zemer at yanua, Na’ara bocha sham kemetar karua. Alsade va zemer mitlaked lezemer Im kochav rakia vedima nichlemet. “Shema od yofia ?”, hayalda shoelet, Im pichrei hakayitz cheresh hi novelet. Alsade vaya’ar zemer at yanua, Na’ara bocha sham kemetar karua. |
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Texte : Lerner Yosef - Musique : Haken Eimanuel - Chorégraphie : Levi Yankale - 1984. |